« Au départ, il s’agissait d’un chemin empierré, et puis une route qui était, avant la construction de la nationale 4, en 1820, la seule route reliant Wavre à Namur en passant par Gembloux. On a appelé ce chemin et le quartier du nom de « Maladrée » à cause d’un hôpital (maladrerie) et d’une chapelle qui portait le nom Sainte-Marie de la Léproserie. Il existait aussi sur cette route un endroit appelé « la main de fer » où étaient dressés les signes patibulaires, ou potence de justice. Ce chemin était souvent impraticable et on devait renforcer les attelages. D’autre part il était souvent peu sûr car il traversait d’importants bois en direction de Beuzet. » (Remy Bauvin).
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La rue de la Maladrée chevauche les versants nord-ouest et sud-est de l’Arton; elle réunit les rues Ponlot (au sud) et la rue de l’Eglise au nord. Elle reçoit sur son flanc gauche (dans le sens S-E/N-O) la rue des Pâquerettes et le Try Ansquet. Entre la rue des Pâquerettes et l’Arton, elle reçoit sur sa droite, un chemin qui vient du Vieux Chemin de Namur et passe sous le chemin de fer. |
1942.- « Un effondrement du pont sur l’Harton à la Maladrée à cause de la neige, des pluies et du dégel se produira en 1942. Le nouveau pont coûtera 48.196 francs« . Extrait du Conseil communal de Lonzée (Remy Bauvin)
GALERIE
magnifique pour tout le détail description et histoire
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Sur la photo aérienne le tracé de la rue s’arrête juste à L’intersection avec la rue Norbert Ponlot alors qu’elle continue bien jusqu’au pont du chemin de fer , 78 est le dernier n° de cette rue .
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dont acte, merci Claude.
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